Catégorie : Lycée Général
Un indien au lycée
Semaine de la presse
C’est dans le cadre de la 33ème Semaine de la Presse et des Médias à l’Ecole (SPME) que le CDI a proposé M. Guette (SES) de construire un projet pédagogique avec ses élèves de la classe de 205.
Le thème de l’année était L’économie des médias (Quels sont les revenus des médias, notamment de la presse papier ?) et les groupes de travail ont ainsi eu l’occasion d’étudier tant les groupes de presse (MM. Bolloré, Bouygues, Lagardère, Arnault…) que la presse indépendante (Le 1, Le Canard enchaîné…).
Ce projet s’est finalisé par la rencontre avec M. Schwartz, directeur de l’Institut de Journalisme de Bordeaux Aquitaine (IJBA), qui a donné lieu à un échange enthousiasmant et fructueux sur la concentration des médias et la pluralité d’opinions.
Plaidoiries pour le Liban
Ce mardi 12 avril s’est tenu à l’auditorium du lycée un concours de «plaidoiries pour un monde plus fraternel» orchestré par Mme Pommiers et durant lequel le public a pu écouter les finalistes : Marie-Héléna, lycéenne au Sacré Cœur en visio depuis Beyrouth accompagnée du Frère André Pierre, Anenden, élève de seconde du lycée Saint Charles en visio depuis La Réunion et sept élèves de 206 : Jeanne, Elisa, Lucien, Louise, Antoine, Paul, Loula soutenus par toute la classe pour le côté technique, la vente des billets, des gâteaux et les intermèdes musicaux. Quelle joie pour les professeurs de lettres de chaque établissement co-porteurs du projet et pour les élèves et adultes présents, d’écouter cette jeunesse éloquente et engagée partager leurs convictions pour créer un monde plus fraternel ! Ce projet a permis aux élèves de développer des compétences et plus encore, chaque jeune a pris la parole pour défendre une cause qui lui tient à cœur, ou pour exprimer son indignation avec une belle force de conviction ! Tous ont expérimenté la joie d’agir concrètement dans un esprit d’entraide et de partage puisque les fonds recueillis seront reversés pour aider l’inscription au bac de nos amis lycéens libanais. Pour sûr, l’Utopie les fait avancer ! Voici un aperçu de ce beau moment!
Se connaître pour se reconnaître !
Se réveiller le lendemain matin et se dire : on l’a fait ça ! On y était !
Des rencontres, des fous rires, des sourires, de la joie… On peut trouver beaucoup de mots pour décrire cette journée mais sans nul doute celui qui correspond le plus est le mot « fraternité ». Fraternité entre élèves de 6è, lycéens, jeunes lasalliens, Frères des Écoles Chrétiennes, prêtres, enseignants, chefs d’établissement, éducateurs, personnels venus des établissements lasalliens de la délégation Sud-Ouest, tous impatients de vivre ce temps fort! Une belle occasion de se connaitre pour se reconnaitre et ainsi de faire découvrir aux 6è la fraternité Lasallienne. Sur les visages, des sourires, des rires, de la joie, des coups de soleil aussi et un peu de fatigue mais des visages heureux.
Nous, les lycéens des 3 lycées de la délégation Sud-Ouest étions déjà présents la veille et il ne fallut pas beaucoup de temps pour qu’une ambiance joyeuse naisse au sein de nous. Au programme : installation, repérage, distribution des tâches, balade dans le sanctuaire, prière à la grotte pour ceux qui veulent et veillée avec de très profonds témoignages de frères. Et puis rapidement, l’heure d’aller dormir arrivait, tous conscients que la journée du lendemain serait chargée.
Le mercredi, le grand jour, les 1200 élèves de 6è envahissaient la prairie du sanctuaire en même temps que nos binômes de 3è venus à la rescousse.
Et là, tout s’enchainait à une vitesse folle!
Les équipes, appelées « fraternités » se formaient, les casquettes de couleurs distribuées. Tout ce que l’on avait imaginé et mis en place devenait concret. Nous étions à cet instant des guides, des historiens, des GO lasalliens. Chacun dans son rôle, la journée avec nos petits 6è pouvait commencer : temps d’échange, visite du sanctuaire, jeu de piste, quiz, times-up lasallien, haie d’honneur aux évêques de France réunis en assemblée pleinière, photo devant la basilique Notre-Dame du Rosaire, repas dans la prairie et pour terminer la cérémonie de clôture dans la basilique souterraine qui doit encore résonner du chant « regarde l’étoile » entonné par les 1200 sixièmes et accompagné par un extraordinaire groupe de jeunes.
Une journée qui marquera chaque personne et qui restera à jamais gravée dans les mémoires et les cœurs! Une journée où chacun aura pu se reconnaître lasallienne et lasallien à quelques heures de la fête de Saint Jean-Baptiste de La Salle!
Merci aux organisateurs, merci à tous les élèves présents, merci aux lycéens, jeunes lasalliens et grand merci aux Frères des Ecoles Chrétiennes présents ces 2 jours.
VJDNC !
Axelle, Alix, Aurélien
Monde virtuel – Monde réel
La jeunesse est connectée. L’APEL en lien avec l’établissement suit avec attention les enjeux éducatifs liés aux moyens de communication et d’information. La révolution numérique et ses infinies mutations nous passionnent, nous questionnent, nous intriguent ou nous font peur. Si les médias relaient bien volontiers les problèmes de dépendance à l’alcool ou au tabac chez les jeunes, le netaholisme (addiction aux médias connectés) pourrait bien prendre sa place progressivement aux côtés des principaux maux dont certains souffrent. L’APEL estime qu’il est de sa mission de permettre aux parents de mieux cerner l’utilisation des outils et réseaux numériques qui nous entourent capables aujourd’hui d’offrir à nos enfants le meilleur comme le pire (jeux vidéo violents, harcèlement ou cybersexe) et de proposer des pistes d’accompagnement pour les parents. La question se pose de la construction d’une véritable « éducation au virtuel », au sein du système éducatif comme de la sphère familiale, pour lutter contre toutes les formes de cyber violence.
C’est à ce titre que le 23 mars 2022, l’APEL de Saint Genès La Salle Bordeaux a organisé à destination des parents et enseignants une conférence intitulée « Les jeunes, Internet et les mondes virtuels. Quel impact identitaire ? « . Cette conférence passionnante menée par Stéphane Blocquaux a été suivie d’un temps d’échange. L’APEL vous propose un résumé.
Après un historique très complet, mais vivant d’Internet, nous comprenons que nos enfants sont des « Digital natives » quand nous ne sommes que des migrants. Nous, nous avons dû apprendre le langage et les codes de cet univers si vaste et étrange à nos yeux d’anciens.
Nous comprenons ensuite que ces mêmes enfants flirtent dangereusement avec l’illégalité, alors qu’ils pensent ne rien faire de mal en téléchargeant, qu’ils n’y sont plus tout à fait ceux que nous connaissons en se créant des avatars dans des jeux ou sur les réseaux sociaux et qu’ils peuvent malheureusement être confrontés à une violence déchaînée, bien que virtuelle, et même jouer avec. Tout ce que nous pensions leur donner comme valeurs et règles de vie vole en éclat simplement assis derrière un écran qui les protège, mais peut-être pas tant que ça. Car rien ne disparaît jamais de la Toile, tout ce qu’ils font et mettent en ligne est traçable, récupérable et peut se retourner contre eux une fois adultes.
Malgré tout Stéphane Blocquaux est optimiste et donne des idées pour que nos enfants ne souffrent pas de « Netaholisme », des noms de logiciels qui aident les parents et aussi de très bonnes pistes de remédiation comme le fait de maîtriser pour mieux contrôler et de contrôler sans tout interdire.
Et il finit par nous rassurer en nous disant que nos enfants seront très rapidement dépassés par la nouvelle génération native du casque de réalité virtuelle qui n’en est qu’à ses balbutiements.
Et comme disait Deleuze, dans Différence et Répétition (1968), que M. Blocquaux a cité « Le virtuel ne s’oppose pas au réel, mais seulement à l’actuel. Le virtuel possède une pleine réalité, en tant que virtuel. Du virtuel, il faut dire exactement ce que Proust disait des états de résonance : “ Réels sans être actuels, idéaux sans être abstraits et symbolique sans être fictifs. »
Article de Mme Sandra Faria Ferreira, Présidente de l’APEL de Saint Genès La Salle Bordeaux.
Avec Joséphine Baker
Archéologie au Fâ
Le site archéologique du FÂ est une ancienne grande ville Gallo-romaine. Les archéologues supposent que le port était le port de « SAINTE ».
Peu à peu, les gens abandonnent la ville, car, ils ne se sentent plus en sécurité. Les bateaux sont de plus en plus pillés, les produits de l’agriculture ne poussent plus assez vite…
Depuis l’Antiquité, la mer a repoussé de plus de 3000 m (3 km).
Les gens qui habitaient cette ville étaient polythéistes (croyant en plusieurs dieux), mais ils vénéraient surtout le dieu Mars (dieu de la guerre). Un temple avait été dressé pour lui (il faisait 12 m de haut). Il y avait une statue de lui à l’intérieur du temple, qui mesurait : 10 m !
Dans les thermes (bains publics), les gens pouvaient se baigner dans 3 types de bains :
– les bains chauds
– les bains tièdes
– les bains froids
Les thermes servaient à faire de la gymnastique, se laver, se retrouver entre ami(e)s…
Dans les thermes, il y avait des objets pour se laver : Un racloir (lame en forme de demi-cercle, qui servait à racler les peaux mortes du corps), des huiles parfumées…
À l’extérieur des thermes, il y avait des petits marchands qui vendaient :
– Des offrandes pour les dieux
– De la nourriture
– Des petits objets du quotidien
– Des poteries…
La différence entre un théâtre et un amphithéâtre :
Le théâtre : Les gens venaient regarder des pièces de théâtres ou des représentations humoristiques…
L’amphithéâtre : Les gens venaient regarder des combats de gladiateurs ou des scènes de combats…
Atelier :
Les pièces romaines ressemblent beaucoup à celle d’aujourd’hui, elle étaient rondes (même si celle des romains étaient plus allongées). Les pièces sont inventées par le roi grec Crésus, d’ou vient la célèbre expression : « Riche comme Crésus ». Les pièces romaines sont en 3 matières :
– L’or
– Le bronze
– Et l’argent
Ces pièces servaient non seulement à payer, mais aussi à communiquer avec les instructions inscrites dessus. Pendant 100 ans, il n’y avait plus assez de pièces pour tous le peuple, on devait couper la pièces en deux pour avoir la moitié de sa valeur en trois pour avoir le tiers de sa valeur… Il y avait, sur la pièce, le buste de profile de l’empereur qui gouvernait ou des scène de guerres… Comment fabriquait-on des pièces dans l’Antiquité ?
On plaçait une plaque de métal (flanc) dans un four et il fondait. Après, on coulait le métal liquide dans des moules en forme de rond. On laisse durcir. Puis, on prend le « rond », on le place sur un
support et on le frappe à l’aide d’un marteau. Et enfin, on place deux cylindres avec les motifs inscrits dessus de chaque coté de la pièce et on frappe avec un marteau.
Les motifs apparaissent ! L’armée romaine :
L’armée romaine était la plus intelligente de toutes les armées du monde. Les hommes étaient des professionnels. Ils signaient un contrat valable pendant 20 ans, la première année servait à s’entrainer. Une tenue de l’armée ne valait que 50 ans sur un règne de 1000 ans. Pendant le règne de Jules-César, les romains avaient des côtes de mailles avant la cuirasse. Dans cette armure, il faisait plus de 50 C° !
Les romains avaient une tactique très intelligente pour les cavaliers qui fonçaient sur eux avec leurs chevaux. Les soldats se mettaient derrière leur bouclier qui était rouge (les chevaux ne voient pas le rouge), et attendaient le « signal ». Petit à petit, les chevaux voient un immense mur rouge et s’immobilisent d’un coup. Les cavaliers sont projetés ! À l’attaque !!!
Mon ressenti :
Les guides sont très chaleureux / chaleureuses. Ils expliquent très bien, explications très adaptées pour les enfants et des exposition merveilleuses ! Les visiteurs / visiteuses peuvent pique-niquer dans l’herbe ou sur des tables…
MERCI DE VOTRE LECTURE !!!
Marius FÉLIX-BOILLON, élève de 603.
Creative Writing 2022
Cette semaine s’est tenue la cérémonie de remise des prix aux lauréats du concours Creative Writing 2022. Cette compétition d’écriture créative en anglais, dont le thème était le tableau Cape Cop Morning de Edward Hopper, a rassemblé tous les élèves du lycée et a distingué 6 étudiants, de section européenne et non européenne : Tabatha GRIFFITHS 208, Alice BALESTON 201, Marc QUESSON 102, Li Lou LABERGERE 102, Alix CARON T2 et Hoa-Sen MERLE T3. Toutes nos félicitations aux gagnants et merci à tous les participants
kwyk ?
Déjà 10 ans au compteur pour la plate-forme d’exercices Kwyk ! Pour fêter l’occasion, un concours national inter-établissements a été organisé. Pendant dix jours, les 20 000 participants ont tenté de résoudre diverses énigmes de mathématiques. Parmi eux, les élèves de 202 du lycée Saint-Genès La Salle ont réussi à se hisser à une très belle 3è place.
Félicitations !