Monde virtuel – Monde réel

La jeunesse est connectée. L’APEL en lien avec l’établissement suit avec attention les enjeux éducatifs liés aux moyens de communication et d’information. La révolution numérique et ses infinies mutations nous passionnent, nous questionnent, nous intriguent ou nous font peur. Si les médias relaient bien volontiers les problèmes de dépendance à l’alcool ou au tabac chez les jeunes, le netaholisme (addiction aux médias connectés) pourrait bien prendre sa place progressivement aux côtés des principaux maux dont certains souffrent. L’APEL estime qu’il est de sa mission de permettre aux parents de mieux cerner l’utilisation des outils et réseaux numériques qui nous entourent capables aujourd’hui d’offrir à nos enfants le meilleur comme le pire (jeux vidéo violents, harcèlement ou cybersexe) et de proposer des pistes d’accompagnement pour les parents. La question se pose de la construction d’une véritable « éducation au virtuel », au sein du système éducatif comme de la sphère familiale, pour lutter contre toutes les formes de cyber violence.

C’est à ce titre que le 23 mars 2022, l’APEL de Saint Genès La Salle Bordeaux a organisé à destination des parents et enseignants une conférence intitulée « Les jeunes, Internet et les mondes virtuels. Quel impact identitaire ? « . Cette conférence passionnante menée par Stéphane Blocquaux a été suivie d’un temps d’échange. L’APEL vous propose un résumé.

Après un historique très complet, mais vivant d’Internet, nous comprenons que nos enfants sont des « Digital natives » quand nous ne sommes que des migrants. Nous, nous avons dû apprendre le langage et les codes de cet univers si vaste et étrange à nos yeux d’anciens.

Nous comprenons ensuite que ces mêmes enfants flirtent dangereusement avec l’illégalité, alors qu’ils pensent ne rien faire de mal en téléchargeant, qu’ils n’y sont plus tout à fait ceux que nous connaissons en se créant des avatars dans des jeux ou sur les réseaux sociaux et qu’ils peuvent malheureusement être confrontés à une violence déchaînée, bien que virtuelle, et même jouer avec. Tout ce que nous pensions leur donner comme valeurs et règles de vie vole en éclat simplement assis derrière un écran qui les protège, mais peut-être pas tant que ça. Car rien ne disparaît jamais de la Toile, tout ce qu’ils font et mettent en ligne est traçable, récupérable et peut se retourner contre eux une fois adultes.

Malgré tout Stéphane Blocquaux est optimiste et donne des idées pour que nos enfants ne souffrent pas de « Netaholisme », des noms de logiciels qui aident les parents et aussi de très bonnes pistes de remédiation comme le fait de maîtriser pour mieux contrôler et de contrôler sans tout interdire.

Et il finit par nous rassurer en nous disant que nos enfants seront très rapidement dépassés par la nouvelle génération native du casque de réalité virtuelle qui n’en est qu’à ses balbutiements.

Et comme disait Deleuze, dans Différence et Répétition (1968), que M. Blocquaux a cité « Le virtuel ne s’oppose pas au réel, mais seulement à l’actuel. Le virtuel possède une pleine réalité, en tant que virtuel. Du virtuel, il faut dire exactement ce que Proust disait des états de résonance : “ Réels sans être actuels, idéaux sans être abstraits et symbolique sans être fictifs. »

Article de Mme Sandra Faria Ferreira, Présidente de l’APEL de Saint Genès La Salle Bordeaux.

Avec Joséphine Baker

Dans le cadre de la « semaine d’éducation et d’actions contre le racisme et l’antisémitisme » des élèves volontaires de 3ème proposent de revenir sur les grandes étapes de la vie de Joséphine Baker. Ses débuts, sa carrière d’artiste, son action comme résistante, ses rêves et ses utopies, son engagement militant contre le racisme et l’adoption de 12 enfants originaires des quatre coins du monde font de sa vie un exemple singulier et une source d’inspiration pour les jeunes. Le 30 novembre dernier, la République reconnaît le parcours hors-norme de cette femme en la faisant entrer au Panthéon.
Depuis le mois de Janvier, les élèves se sont retrouvés régulièrement afin de proposer des textes et des iconographies pour mettre en place cette exposition. Le résultat est visible pendant plusieurs semaines au Grand Salon de Saint-Genès La Salle Bordeaux pour l’ensemble des classes du collège.

Archéologie au Fâ

Le site archéologique du FÂ est une ancienne grande ville Gallo-romaine. Les archéologues supposent que le port était le port de « SAINTE ».
Peu à peu, les gens abandonnent la ville, car, ils ne se sentent plus en sécurité. Les bateaux sont de plus en plus pillés, les produits de l’agriculture ne poussent plus assez vite…
Depuis l’Antiquité, la mer a repoussé de plus de 3000 m (3 km).
Les gens qui habitaient cette ville étaient polythéistes (croyant en plusieurs dieux), mais ils vénéraient surtout le dieu Mars (dieu de la guerre). Un temple avait été dressé pour lui (il faisait 12 m de haut). Il y avait une statue de lui à l’intérieur du temple, qui mesurait : 10 m !

Dans les thermes (bains publics), les gens pouvaient se baigner dans 3 types de bains :
– les bains chauds
– les bains tièdes
– les bains froids
Les thermes servaient à faire de la gymnastique, se laver, se retrouver entre ami(e)s…
Dans les thermes, il y avait des objets pour se laver : Un racloir (lame en forme de demi-cercle, qui servait à racler les peaux mortes du corps), des huiles parfumées…
À l’extérieur des thermes, il y avait des petits marchands qui vendaient :
– Des offrandes pour les dieux
– De la nourriture
– Des petits objets du quotidien
– Des poteries…

La différence entre un théâtre et un amphithéâtre :
Le théâtre : Les gens venaient regarder des pièces de théâtres ou des représentations humoristiques…
L’amphithéâtre : Les gens venaient regarder des combats de gladiateurs ou des scènes de combats…

Atelier :

Les pièces romaines ressemblent beaucoup à celle d’aujourd’hui, elle étaient rondes (même si celle des romains étaient plus allongées). Les pièces sont inventées par le roi grec Crésus, d’ou vient la célèbre expression : « Riche comme Crésus ». Les pièces romaines sont en 3 matières :
– L’or
– Le bronze
– Et l’argent
Ces pièces servaient non seulement à payer, mais aussi à communiquer avec les instructions inscrites dessus. Pendant 100 ans, il n’y avait plus assez de pièces pour tous le peuple, on devait couper la pièces en deux pour avoir la moitié de sa valeur en trois pour avoir le tiers de sa valeur… Il y avait, sur la pièce, le buste de profile de l’empereur qui gouvernait ou des scène de guerres… Comment fabriquait-on des pièces dans l’Antiquité ?
On plaçait une plaque de métal (flanc) dans un four et il fondait. Après, on coulait le métal liquide dans des moules en forme de rond. On laisse durcir. Puis, on prend le « rond », on le place sur un

support et on le frappe à l’aide d’un marteau. Et enfin, on place deux cylindres avec les motifs inscrits dessus de chaque coté de la pièce et on frappe avec un marteau.
Les motifs apparaissent ! L’armée romaine :
L’armée romaine était la plus intelligente de toutes les armées du monde. Les hommes étaient des professionnels. Ils signaient un contrat valable pendant 20 ans, la première année servait à s’entrainer. Une tenue de l’armée ne valait que 50 ans sur un règne de 1000 ans. Pendant le règne de Jules-César, les romains avaient des côtes de mailles avant la cuirasse. Dans cette armure, il faisait plus de 50 C° !
Les romains avaient une tactique très intelligente pour les cavaliers qui fonçaient sur eux avec leurs chevaux. Les soldats se mettaient derrière leur bouclier qui était rouge (les chevaux ne voient pas le rouge), et attendaient le « signal ». Petit à petit, les chevaux voient un immense mur rouge et s’immobilisent d’un coup. Les cavaliers sont projetés ! À l’attaque !!!

Mon ressenti :
Les guides sont très chaleureux / chaleureuses. Ils expliquent très bien, explications très adaptées pour les enfants et des exposition merveilleuses ! Les visiteurs / visiteuses peuvent pique-niquer dans l’herbe ou sur des tables…

MERCI DE VOTRE LECTURE !!!
Marius FÉLIX-BOILLON, élève de 603.

Les bordelais au ski

#episode1

« Longue est la route »
Après 12 heures de bus, les heureux élèves du collège sont bien arrivés dans la station des 2 Alpes.
Le trajet a été long et tous avaient hâte d’arriver.
Après s’être équipés, ils ont pu s’installer dans leur chambre avec vue directe sur les pistes.

#episode2

« Les Bordelais au sommet »
Nous revoilà après une bonne nuit de sommeil, nos réveils furent mouvementés par « Hakuna Matata » et « la reine des neiges » à fond dans les couloirs.
Merci à nos professeurs pour ce réveil en chanson.
Après un petit-déjeuner copieux avec tous les copains est venu le moment tant attendu de dévaller les pistes.

#episode3

« La montagne nous gagne… mais pas aujourd’hui »

Ce matin, nous nous sommes réveillés fatigués mais motivés par une belle journée de ski en perspective. Une journée finalemment difficile car même si la neige était bonne, le temps agréable, les bobos oubliés , les bleus aussi… la blessure d’une de nos enseignantes a freiné un temps cette euphorie….puis …une soirée magique est arrivée…oubliée la fatigue: place à la fête! Une soirée ponctuée de beaux moments entre nous avec des rires, des danses les plus improbables mème avec nos profs!!

Allez on va se coucher, bonne nuit à tous et à demain pour l’épisode 4.

#episode4

« Les Bordelais dans le brouillard » 
Le réveil fut dur pour ces enfants qui avaient dansé jusqu’à un peu tard le soir.
Malgrè tout, le petit déjeuner pris et les vêtements mis, ils ont pu décoler pour aller faire du shopping.

Heureusement, la grasse matinée leur avait permis de recharger les batteries et il ne restait plus qu’à affronter la montagne et son brouillard pesant.

Les pentes raides et la neige molle nous faisaient tomber en masse.
La fatigue se faisait ressentir parmi certains skieurs, heureusement, c’était le moment de rentrer, de travailler, de se laver et de vivre la merveilleuse veillée qui nous attendait.
La suite dans le prochain épisode

#episode5

« La tête dans les nuages »
Bonjour,
Comme tous les matins, nous nous sommes réveillés puis préparés pour aller skier.
Tout le monde, sauf les élèves confirmés, sont partis en navette au cours.
C’était très bien, la neige était très bonne même s’il y avait beaucoup de brouillard!
Il a même neigé.
L’après-midi, tous les groupes se sont réunis pour faire les mêmes pistes.
Cela nous a permis de voir le niveau de nos amis.
Nous avons ensuite fait nos valises, puis avons mangé une tartiflette pour se remettre de cette super journée!
La soirée a été mémorable grâce au Blindtest de M. Mayembo

#episode6

« Les bordelais sur la descente du glacier »
Après avoir déambulé sur les pistes du plus grand domaine de ski d’Europe, après avoir contemplé ces merveilleux paysages, il est l’heure pour nous de rentrer en Aquitaine.
La joie se lit sur nos visages fatigués. Une fin de séjour marquée par des élèves malades, isolés et ne pouvant plus skier avec les copains.
Nous sommes quand même tous heureux de retrouver notre belle région même si une semaine de plus aurait été bien agréable…
Que de belles rencontres ! Nous repartons  la tête pleine de montagne, de virages, de glisse, de rires partagés avec nos amis.
Nous en profitons aussi pour vous dire qu’il neige ici, au moment de notre départ. Le chauffeur a choisi l’option sud ( Nimes – Montpellier – Toulouse) pour éviter le capricieux massif central.

Creative Writing 2022

Cette semaine s’est tenue la cérémonie de remise des prix aux lauréats du concours Creative Writing 2022. Cette compétition d’écriture créative en anglais, dont le thème était le tableau Cape Cop Morning de Edward Hopper, a rassemblé tous les élèves du lycée et a distingué 6 étudiants, de section européenne et non européenne : Tabatha GRIFFITHS 208, Alice BALESTON 201, Marc QUESSON 102, Li Lou LABERGERE 102, Alix CARON T2 et Hoa-Sen MERLE T3. Toutes nos félicitations aux gagnants et merci à tous les participants

kwyk ?

Déjà 10 ans au compteur pour la plate-forme d’exercices Kwyk ! Pour fêter l’occasion, un concours national inter-établissements a été organisé. Pendant dix jours, les 20 000 participants ont tenté de résoudre diverses énigmes de mathématiques. Parmi eux, les élèves de 202 du lycée Saint-Genès La Salle ont réussi à se hisser à une très belle 3è place.

Félicitations !

Animal Farm

Les élèves de première spécialité LLCE anglais ont élaboré avec talent leur propre visuel pour la couverture du livre Animal Farm de George Orwell.  L’intégralité des productions originales sont exposées au Lycée Général et témoignent de la sensibilité et de la créativité de nos étudiants. Merci à eux pour ce travail  !

Fabriquer un livre

Nous les CM de Saint-Michel sommes allés à la bibliothèque de Mériadeck. Nous y avons rencontré Géraldine et Mathilde qui nous ont accompagnés pendant la visite et qui ont animé l’atelier. Nous avons parlé de la fabrication des livres au cours des siècles. Au Moyen-Age, c’étaient les moines copistes qui écrivaient les livres à la main sur des parchemins. Ces livres traitaient de sujets religieux. Au début, les livres se présentaient sous forme de rouleaux. On les a modifiés car ils n’étaient pas pratiques à utiliser.  Les livres sont devenus comme on les connait.   Ils étaient très lourds et extrêmement chers. La fabrication d’un livre nécessitait plus de 3 mois. SI les moines commettaient des erreurs, ils étaient obligés de gratter la peau ou de faire un dessin pour les dissimuler. Et ce tout temps pour ne produire qu’un seul exemplaire !

C’est en 1450 que Gutenberg invente l’imprimerie qui facilitera grandement la fabrication des livres. En effet, ce procédé permet de produire les ouvrages en série.

Nous avons eu la chance d’admirer plusieurs livres anciens dont un livre datant du 11ème  siècle . A la fin, nous avons pu fabriquer nos propres carnets .

Les CM

Des journaux aux collèges

A Bordeaux, Le numéro 1 vient de sortir!  Saint-Genès La Salle Stars est un journal rédigé par deux élèves de 606 (Madeleine White et Naomi O’Gara) sous la direction d’Alexandra Rivoallan, éducatrice au collège. Emma Hodson, enseignante d’anglais et professeur principale des 606 en assure ensuite la correction.
A découvrir auprès de chaque élève de 606, classe à projet Extra English, au CDI avec des exemplaires du crossword pour que les élèves puissent le compléter, mais aussi dans les BVS.
A Talence, c’est le traditionnel journal Contact de l’atelier journalisme piloté par Mmes Marty et Bolona qui a vu le jour avec de nombreux articles sur la vie de l’établissement, les secrets de professeurs, des conseils lecture, des poésies d’élève et la rubrique « gestes verts ».
A lire en intégralité ci-dessous :

Semaine de la presse

Dans le cadre de la semaine de la presse, les 409 du collège de Talence ont assisté au CDI à un atelier animé par Amandine Sanial. Journaliste depuis dix ans, diplômée de l’école de journalisme de Bordeaux (IJBA). Elle a travaillé dans de nombreux médias à Paris (AFP, Le Monde, Télérama, AEF…) ainsi qu’à l’étranger, en tant que correspondante ou pigiste pour des médias français (La Croix, Sud Ouest, France 3). Aujourd’hui, elle est rédactrice en chef adjointe à la revue Far Ouest, un média local, indépendant et sans publicité basé à Bordeaux. En parallèle de son travail pour la revue, elle est également en charge de l’association « Les Ami.e.s de Far Ouest », qui œuvre en faveur de l’éducation aux médias.

Site Saint-Michel
1 rue Dasvin, 33800 Bodeaux

05.56.92.02.60

Site Bordeaux
160 rue de Saint-Genès, 33000 Bordeaux

05.56.33.84.84

Site Talence
134 cours Gambetta, 33400 Talence

05.57.35.20.60