e-sport au LP

L’e-sport c’est quoi ?
L’e-sport ou sport électronique désigne la pratique d’un jeu vidéo en réseau sur Internet, seul ou en équipe. Considéré comme un sport moderne à part entière par ses pratiquants et ses promoteurs, l’e-sport est né à la fin des 1980 en tant que loisir. Cette discipline est née grâce à l’émergence des jeux multijoueurs en réseau. Chaque année, les meilleurs joueurs en réseau du monde se retrouvent à l’occasion de l’e-sport World Convention (ESWC). Cet évènement est un championnat du monde avec plusieurs compétitions organisées, où s’affrontent les gamers qui dominent les jeux les plus populaires.
La sélection des jeux inclus dans les grandes compétitions dépend surtout de leur succès commercial. Les fans d’e-sport peuvent suivre les parties en direct sur des chaînes spécialisées ou sur des plateformes de streaming comme Twitch. En France, cette discipline est encadrée par l’association France e-sports.
Les élèves acquièrent des compétences grâce aux jeux à l’école
Les sports d’équipe permettent d’enseigner des leçons importantes et des compétences de vie au-delà de la salle de classe. Ces compétences comprennent :
• Travail d’équipe. Cela exige le développement d’innombrables compétences supplémentaires comme la communication, la collaboration, la négociation, la gestion des conflits, l’écoute active et le respect.
• Compétences sociales comme le maintien d’un contact visuel, l’utilisation d’un langage corporel approprié et le contrôle de soi.

• Réflexion et planification stratégiques. L’eSport exige des élèves qu’ils se fixent des objectifs, évaluent la compétition et examinent leurs points forts et leurs points faibles individuels. En tant que membre d’une équipe, les élèves apprennent à établir des tactiques, à élaborer des plans de jeu et à ajuster l’exécution en fonction des besoins.

• Gérer les succès et les échecs. Pratiquer l’eSport permet de comprendre que la vie n’est pas toujours juste. Peu importe les efforts que vous déployez pour vous préparer, vous ne serez pas toujours au top. Apprendre à gérer les émotions de la perte – et de la victoire – aide les élèves à devenir plus résistants,émotionnellement.

• Gestion du temps. Pour pouvoir participer aux compétitions d’eSport à l’école, les élèves doivent maintenir leur performance académique. Pour ce faire, ils doivent apprendre et appliquer des compétences managériales comme l’organisation et la gestion du temps.

Apaiser la méfiance et dépasser les hésitations…
Malgré les nombreux avantages du jeu vidéo électronique dans un cadre scolaire, de nombreux parents et éducateurs rechignent toujours à l’idée d’introduire cela dans le système éducatif. Au Canada, l’école polyvalente Arvida dans la Commission scolaire de Jonquière avait offert le premier programme eSport-études de la province. Celui-ci était proposé aux élèves de la troisième à la cinquième du secondaire. Mais l’idée n’avait pas été acceptée immédiatement par la direction et les promoteurs du projet avaient dû persuader la direction de ce que l’usage du jeu électronique n’était point une perte de temps mais une stratégie alternative et pédagogique pour faciliter l’apprentissage des différentes applications informatiques, les réseaux sociaux, les équipements de réseautique, le matériel physique, etc.
Au lycée d’Arlanda en Suède[iv], les élèves suivent des cours d’eSport dans le cadre du programme d’éducation sportive locale. Une dizaine d’heures par semaine avec au programme des séances de compréhension du jeu, de la tactique mais aussi une approche plus globale sur la préparation de l’athlète, sur Counter-Strike, League of Legends ou encore Dota 2.
En France également, les lycéens suivent le cours d’eSport dans les locaux de l’école mulhousienne Power house gaming, une école postbac qui dispense aussi des formations à Bac+1 et Bac+3. Une vingtaine d’élèves de 2nde et de 1re suivent ces dizaines d’heures d’option dans l’année pour lesquelles ils ne reçoivent pas de notes, mais des appréciations comptant dans leur parcours scolaire. « On fait passer aux jeunes, qui candidatent à l’option, des tests de culture générale et en jeux. Ensuite, pendant le cours, on leur apprend l’histoire de l’eSport, la définition des métiers, on fait de la pratique. Le tout à des fins pédagogiques et compétitives », explique Terence Figueiredo, directeur de Power house gaming.
Abdeslam Hamdy, le proviseur du lycée, persuadé de ce que l’e-sport a toute sa place dans le créneau des « innovations technologiques » enseignées au lycée, a convaincu ses équipes pédagogiques : « Au début il y a eu de l’hésitation, de la méfiance. Les gens se demandaient si on n’allait pas encourager à jouer : non, on va plutôt encadrer, pour que les élèves tirent l’essence de la discipline et l’utilisent comme une ressource pour la pratique scolaire. » Et comme je l’ai démontré dans cet article, j’encourage la démocratisation de l’eSport comme méthode pédagogique autant dans le milieu scolaire et universitaire car l’école ne peut (et ne doit) pas totalement rester à l’écart des évolutions de la société. Le jeu vidéo est un support populaire et un phénomène de société, l’école peut s’en emparer pour développer d’autres compétences chez les apprenants. Alors l’eSport à vocation pédagogique sera bénéfique à condition de guider les jeunes et de leur apprendre.

E-Sportivement,
Dominique NICOLAU, cadre éducatif du LP

Adrien et le courage

Rencontre sur le thème du courage entre les élèves de CE et de CM et Adrien, joueur de l’UBB en catégorie espoir, sportif de haut niveau en situation de handicap. Adrien, accompagné de son tuteur, a échangé avec les élèves sur l’autisme et le plaisir qu’il éprouve en jouant au rugby. Il accompagne également les élèves de la grande section au cm2 lors des séances de rugby depuis le début de l’année. Un grand merci à lui pour cette belle rencontre !

Mathieu Jalibert, Maxime Lucu et les autres

Cela faisait un petit moment que les élèves de l’atelier rugby du collège de Talence attendaient cela : assister à l’entrainement de l’équipe 1 de l’UBB. L’heure et le jour sont enfin arrivés grâce à M. Pigneux l’animateur de cet atelier qui réunit toutes les semaines sur le stade du collège plus de 50 élèves désireux de connaitre les joies de la balle ovale.

En ce mardi après-midi de mai et ceci malgré le mauvais temps, ils ont rejoint le stade Moga où s’entrainent les rugbymens. Là, ils ont pu voir comment se passe une séance d’entrainement et n’ont pas hésité à les encourager. Une fois la séance terminée, les Jalibert, Lucu, Jolmès, Cordéro et bien d’autres ont gentiment rejoint les élèves pour répondre à leurs questions et bien sûr jouer le jeu du selfie ou de la dédicace. Nos jeunes avaient des étoiles dans les yeux et la motivation encore plus grande à venir les encourager le week-end prochain au stade pour l’avant dernière journée de championnat qui décidera certainement de leur accession dans les 6 premières places du Top 14.

Drop de béton

Depuis 1997, Drop de Béton œuvre à l’insertion sociale des publics les plus fragiles grâce au rugby et à ses valeurs. Drop de Béton propose la pratique du rugby sur tous les moments et tous les lieux de vie : l’école, le quartier, les vacances… Principalement active dans les Quartiers prioritaires de la politique de la ville (QPV), l’association développe également de nombreuses actions de proximité en milieu fédéral, médicalisé ou carcéral pour favoriser l’égalité des chances, aider au vivre-ensemble ou (re)donner confiance en soi aux bénéficiaires. Sur l’ensemble de ces actions, pour les plus jeunes comme pour les adultes, la pédagogie adoptée développe les comportements citoyens.

Conscient des difficultés rencontrées par les jeunes, particulièrement pour ceux issus des quartiers, d’obtenir une qualification ou un emploi, Drop de Béton a développé un programme d’insertion professionnelle avec plusieurs dispositifs, notamment celui de promouvoir les métiers du sport et de l’animation pour remobiliser les jeunes et les insérer dans la société par la pratique sportive. Afin de valider une partie de leur BP GEPS ainsi que dans le cadre du cours de SES, pour montrer l’impact de la socialisation sur les trajectoires professionnelles, une équipe de 9 jeunes est venu animer une après-midi sport avec la classe de 201, au menu foot, balle américaine et entrainement de rugby.
Chaque jeune a su tenir sa place et proposer des activités à chacun.

LEURET Marie-Hermine, enseignante des 201

Partenariat Classe défense et BA 106

Jeudi 27 avril dernier, la classe défense du Collège Saint-Genès La Salle de Talence, s’est rendue sur le site de la Base Aérienne 106, pour signer un avenant à la convention de partenariat qui lie désormais cette classe de Troisième, avec cette unité militaire.

Au cours de cet après-midi, la classe a visité le Centre Militaire de Coordination et de Contrôle. Les élèves ont pu se rendre dans une salle où travaillent des aiguilleurs du ciel de l’Armée de l’Air et de l’Espace. Sur le site de la Base aérienne, ils ont pu s’entretenir avec deux pilotes et un mécanicien, puis monter à l’intérieur de deux petits avions de transport, où il leur a été expliqué les rudiments du pilotage.

Enfin, ils se sont rendus au quartier général, où l’avenant à la convention en présence du Colonel Ludovic Louriou, commandant de la Base aérienne 106.

La classe défense est heureuse de vous partager quelques photographies de cet après-midi.

Photos : Romain Rey – Armée de l’Air et de l’Espace

Aux plus petits d’entre les miens

Matthieu l’un des apôtres de Jésus, a pris note de cette parabole « Chaque fois que vous l’avez fait à l’un de ces plus petits qui sont mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait. » Mt 25,40.

Jésus est allé partout pour guérir les malades, pour consoler les affligés, pour partager avec ses amis, mais surtout annoncer la bonne nouvelle du Royaume de son Père et nous enseigner notre façon d’être, notre façon d’agir, l’attention que nous devons porter aux plus petits… ceux pour qui nous sommes invités à accueillir comme frères, sans discrimination, avec sa croyance, sa couleur de peau, sa culture, sa différence.
Accueillir la différence à bras ouverts, c’est cela que les élèves engagés en Pasto 4e ont vécu lors d’un temps fort autour du handicap. Une matinée de sensibilisation, de connaissance de cette réalité qui se présente parfois visible, parfois invisible.

Quatre carrefours de témoignages ont été proposés aux élèves.

  • Un Groupe d’Entraide Mutuelle (GEM) Le Trèfle qui accueille des personnes atteintes de lésions cérébrales et des personnes valides. (site internet)
  • L’Association Chiens Guides Aliénor Bordeaux, école qui forme les chiens pour les personnes en situation de déficience visuelle. (site internet)
  • L’association Trisomie 21 Nouvelle-Aquitaine, dédiée aux personnes avec trisomie 21 ou autre déficience intellectuelle. (site internet)
  • Un couple des personnes non voyantes, Yves et Jaqueline qui ont partagé aux élèves leur parcours de vie, leurs expériences, leur forteresse et leurs fragilités face au handicap… « Chaque jour pour nous c’est toute une aventure ».

Les élèves en sont ressortis bouleversés comme en témoignent leurs réactions à chaud :
« J’ai mieux compris comment aider les aveugles et les malvoyants. »
« J’ai été touché par la joie de vivre des personnes porteuses de handicap ! »
« J’ai été touché de voir comment les bénévoles offraient leur temps afin d’aider les personnes dans le besoin ainsi que leur bienveillance ! »
« Je ne verrai plus jamais les personnes porteuses de handicap de la même façon. »
« J’ai été touché par la foi et la positivité d’Yves et Jacqueline ! »
« J’ai été bouleversé par le témoignage de Pascale qui a vécu une renaissance avec l’arrivée de son chien Loustic. »

Karen et Bénédicte, animatrices en pastorale

Aller à la rencontre de ces petits qui sont les frères de Jésus, c’est possible pour chacun d’entre nous !

Mieux habiter

Mieux habiter, tel est le thème du programme de géographie que nous avons exploré mardi 4 avril. Dans ce cadre, les élèves de CE1/CE2 et de CM1/CM2 ont visité le matin, le centre de tri Elise Atlantique, qui collecte et trie nos déchets, afin de permettre à des entreprises spécialisées dans le recyclage leur donner une seconde vie. Nous avons pu comprendre ce que signifie « insertion professionnelle » en allant à la rencontre des travailleurs handicapés qui triaient le papier à recycler.

Après un pique-nique sans emballage plastique, pris au bord de la Garonne, les élèves de CM1/CM2 ont été accueilli à Cap Sciences par deux bénévoles de l’association humanitaire Action Contre La Faim, afin de comprendre l’impact de notre alimentation sur le monde. L’exposition « Tomate Impact » les a sensibilisés à la pauvreté dans les pays où règne la monoculture. Enfin, ils ont pu assister à une animation interactive pédagogique sur le thème « Réchauffe l’ambiance, pas la planète », dont l’objectif était de comprendre les conséquences de notre mode de consommation sur le dérèglement climatique.

Une belle journée pour réaliser qu’il n’est pas trop tard pour sauver notre planète, si nous changeons dès aujourd’hui nos habitudes.

Aller à la rencontre pour partager

Tous les mardis midi, depuis le début de l’année scolaire, les jeunes de 3e du groupe de pastorale du collège Saint-Genès La Salle Bordeaux vont aider au restaurant social du « Pain de l’amitié », une association qui se trouve à deux pas de notre établissement. Durant ce service, 3 élèves accompagnés d’un parent ou d’un enseignant ont découvert différents postes de travail comme l’accueil des personnes, le pointage des tickets, la préparation des plateaux ou le service d’entrée et de la soupe. Cette expérience humaine a touché véritablement leur cœur de collégien.  En lien avec cet engagement, les élèves nous ont invités, pour le Carême, à une grande collecte solidaire pour cette association qui vient en aide aux personnes en précarité. Ils ont pris en charge cet action de solidarité de la conception de l’affiche à la promotion jusqu’à la remise de tous les dons collectés. Les collégiens, les élèves du Lycée Général et du Lycée des Métiers ont pu durant 40 jours apporter des denrées alimentaires ou des produits d’hygiène. Le fruit de la collecte à été remis à M. BEGUERET, responsable du Pain de l’amitié qui a remercié chaleureusement tous les donateurs mais surtout le groupe de pasto 3è pour leur engagement. Un GRAND MERCI à chacun. #carême, #engagement, #charité, #solidarité, #fraternité, #service : de nombreuses valeurs qui font partie de notre ADN, celui qui nous pousse à servir.

«Seuls, nous pouvons faire si peu ; ensemble, nous pouvons faire beaucoup.»  Helen Keller

Se découvrir autrement !

Comment amener les élèves à prendre confiance en eux et à libérer leur créativité pour renouer avec l’envie d’apprendre, d’aller plus loin? C’est cette question inscrite avec force dans le projet éducatif lassalien qui a animé mon désir de faire un atelier d’écriture avec la classe de seconde professionnelle des Métiers de la Relation Clients du Lycée des Métiers Saint-Genès Lasalle à Bordeaux. Cette classe étant composée d’élèves curieux et pleins d’énergie, je voulais les amener à faire émerger tout leur potentiel. D’ailleurs, c’est bien là tout l’enjeu du Lycée des Métiers où toute l’équipe éducative s’attache à donner confiance aux jeunes et les accueille en leur donnant toute leur attention au vu de l’hétérogénéité de leurs parcours.
Or c’est aussi l’histoire d’une rencontre avec Fabien Modolo alias Keurspi, dont le nom d’artiste renvoie au mot anglais «speaker»; cet artiste écrit des textes de rap depuis de nombreuses années et fait aussi de la scène.
Les messages qui émanent de ses textes prônent l’ouverture d’esprit et le dépassement de soi. Fabien Modolo a également travaillé en tant qu’éducateur au collège Saint-Genès La Salle de Bordeaux et propose désormais des ateliers d’initiation au rap dont l’objectif est d’apprécier la dimension esthétique et créative de la parole et de s’exprimer devant un groupe.
Christine Castaings, la Directrice du Lycée des Métiers m’a apporté son soutien total ainsi qu’une belle dose d’enthousiasme qui m’ont permis de mener ce projet à bien. Celui-ci a fait vivre l’objet d’étude du programme de lettres intitulé «Dire et se faire entendre: la parole, le théâtre, l’éloquence» dont l’objectif est d’apprécier la dimension esthétique et créative de la parole. Ce chapitre s’articule autour de l’oral donc créer et réciter des poèmes ou des chansons permet de faire un travail sur la voix, le ton, le débit, le souffle et le rythme. En terme de créativité, je souhaitais que l’élève trouve sa propre voix.
Après une séance sur l’origine du rap, les élèves ont fait des exercices sur la langue et les sonorités pour jouer avec les rimes. Malgré des débuts parfois compliqués, une fois que la confiance s’est installée, que les masques sont tombés et que le regard des autres n’a plus été un frein à l’expression, les élèves se sont enfin révélés. Une énergie de groupe s’est créée et de belles surprises ont pu émerger.
La future étape a consisté à laisser chacun écrire un couplet ou alors travailler en groupe sur des thèmes qui leur étaient chers comme l’injustice ou la construction de soi. Néanmoins, la création n’est pas synonyme de liberté absolue: certaines contraintes sont de mise telles qu’écrire des vers devant comporter un certain nombre de syllabes; évidemment, la vulgarité est exclue. Avoir conscience de la valeur des mots et du sens qu’ils véhiculent est de prime importance. Enfin, les élèves ont choisi une mélodie parmi celles proposées par Keurspi.
Un travail a été effectué sur la mise en voix, la prosodie, le rythme et la diction.
Puis le jour de l’enregistrement est arrivé durant lequel chaque élève a déclamé son couplet à l’auditorium avec Pierre Guilon à la technique, et ce pendant trois heures.
Keurspi a accompagné les élèves dans le processus de création avec pédagogie et bienveillance. L’atelier s’est révélé être également un formidable exutoire pour certains et un véritable travail sur soi à travers la création artistique.
Ce projet a réussi en ce sens que de nombreux élèves sont parvenus à exprimer leurs talents cachés à travers l’écriture de textes personnels.

Ingrid Hoyela, enseignante

Quoi de mieux pour clore cette expérience que de l’illustrer avec les couplets d’une élève inspirée et inspirante, Théaline Boidron:

C’est vrai que pour l’instant je ne suis qu’au lycée
Mais je pense quand même à réaliser mes projets
Je ne suis pas parfaite mais je fais tout pour m’accrocher
Je n’abandonne jamais, c’est impossible de m’arrêter

J’ai foiré mon dernier projet donc ça va être la résurrection
Mon cerveau chauffe, il est en pleine ébullition
Là, je commence à penser et à faire la constitution
Et dans pas longtemps mon entreprise sera en construction.

Ca m’arrive de douter mais je sais que je peux y arriver
Toujours positive malgré les obstacles à surmonter
Cette mentalité, je l’ai grâce à mon passé
Car ce sont les difficultés qui m’ont permis de me forger.

Ma tête c’est Netflix, toujours remplie de films incompris
Le soir je m’imagine des scénarios dans mon lit
Je me demande si je pourrai réussir ma vie
Si un jour mes objectifs seront accomplis.

Remise de chèques

La remise des chèques aux 2 associations pour lesquelles avaient couru les élèves des écoles et collèges de Bordeaux et Talence lors des dernières courses solidaires a eu lieu dans la cour d’honneur du site de Bordeaux en présence des enseignants d’EPS, organisateurs de l’évènement. M. Chapellier a félicité les élèves pour leur engagement en cette année du SERVICE. Il a pu ensuite remettre les chèques aux représentants des 2 associations : « Pour un second souffle » et « Vagdespoir »!
Des dons qui vont permettre de financer des médicaments pour les personnes atteintes de mucoviscidose d’un côté et de participer à l’achat d’une nouvelle remorque permettant aux handicapés de se changer et de stocker du matériel. Merci à chacun! Merci à tous!
« Si chacun fait un petit peu, on peut faire beaucoup! »

Site Saint-Michel
1 rue Dasvin, 33800 Bodeaux

05.56.92.02.60

Site Bordeaux
160 rue de Saint-Genès, 33000 Bordeaux

05.56.33.84.84

Site Talence
134 cours Gambetta, 33400 Talence

05.57.35.20.60